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Malhonne ou la désillusion des voyageurs

 

Mise en espace en mars 2004

 

Pièce en cinq actes 

Six personnages : cinq hommes et une femme.

Durée : 2 heures

 

          Michel de Heime, seigneur de Sens, philosophe de son métier en même temps que maire de sa ville, est de retour du Vatican où il s’était rendu pour soumettre à la censure papale l’œuvre de sa vie, un recueil de pensées philosophiques. Il est pris en otage par une troupe de brigands , lui et sa suite : Isabelle, sa fiancée, une jeune fille de vingt-cinq ans qu’il a « achetée » à son père lors du voyage aller, le père Pierre, son confesseur, un vieillard intransigeant et borné, Lahorbe le chef de sa milice particulière, et son page, Lahire.

          M. de Heime tente de dissimuler sa condition de noble afin de minimiser la rançon et le prêtre est désigné pour s’en enquérir. Dans l’attente, une étrange relation se noue entre les otages et le chef des brigands, Malhonne, qui s’avère un être étrange, à la fois frustre et raffiné.

 

 

Les leçons des ténèbres

 

Publiée aux éditions Durand-Peyroles en juin 2010

Mise en espace le 20 juin 2004

 

Pièce en trois actes

Trois personnages : un homme et deux femmes

Durée : 45 minutes

 

         Durant la seconde guerre mondiale, le commandant d’un camp de concentration Bildwesen charge une déportée juive, Maya, cinéaste de métier, de réaliser un film de propagande sur le camp dans lequel elle est détenue. Elle finira par accepter, poussée en cela par son amie proche, Mylena. Mais elle demeurera hantée par la signification de son attitude et le destin finira par renverser les données.

 

 

 

Le ruban de Moebius

Créée en juillet 2007

 

Pièce en trois actes

Quatre personnages : deux hommes, deux femmes.

Durée : 1 heure

         

         Le « ruban de Moebius » est une figure mathématique qui ne possède ni intérieur, ni extérieur. Ainsi en va-t-il également des personnages de cette  étrange demeure, de cette femme de la haute bourgeoisie qui invite chez elle un s.d.f soi-disant par pure charité…

 

 

 

 

Dialogue de lourds

 

Pièce en trois actes

Cinq personnages : deux hommes et trois « silhouettes » (deux hommes et une femme)

Durée : 1 heure

 

         Axel et Bertrand sont techniciens de surface dans le « centre de détente dynamique et sportive » de Monsieur Soupion. Ils sont à l’opposé l’un de l’autre : Axel est un macho séducteur, sûr de lui, Bertrand est un naïf, sans ambition, à l’extrême limite de la déficience mentale. Ils vont dialoguer comme le font les hommes entre eux, lourdement.

 

 

Un zeste entre les deux tours

 

Vaudeville tragique en trois actes

Onze personnages : sept femmes et quatre hommes

Durée : 1 heure 30

 

           Depuis vingt-cinq ans, la petite ville de Tanquilialedec n’a jamais connu pareil émoi : son maire sortant, Xavier Marche, est mis en ballottage, et de plus par une femme ! Pour assurer sa ré élection, Marche va se montrer prêt à toutes les compromissions. Mais une journaliste parisienne, envoyée pour couvrir l’événement, va transformer ce vaudeville en tragédie.

 

 

 

Métro tôt métro tard

 

créée en septembre 2012 à Montréal (Québec)

 

Puzzle théâtral en douze stations

Quarante personnages : treize femmes et vingt-sept hommes (peuvent être interprétés par trois comédiennes  et quatre comédiens)

Durée : 1 heure 30

 

           Le métro est un microcosme : on s’y croise, on s’y voit, on s’y rencontre, on s’ignore, on s’y parle, tout seul, on s’y tait, avec les autres. L’une après l’autre, pour des raisons dites « de travaux », les stations ferment. Il n’en faut pas plus pour que naisse une légende urbaine : c’est un monstre qui rôde, c’est une épidémie, c’est une malédiction, c’est la fin programmée du service public…Chacun interprète à sa manière le phénomène. Pendant ce temps, se poursuit la vie, soit le grand flux et reflux des doutes, des interrogations, des angoisses et des désirs. Tout est dans le métro : il suffit d’écouter…

 

 

 

Tout amour qui meurt est un cheval cabré

 

Publiée aux éditions ALNA

 

Pièce en un prologue de prologue, un prologue et neuf phases

3 hommes, 2 femmes

Durée approximative : 1 heure

 

         « Peut-on tuer par amour ? Et si oui, combien de fois ?» Un commerçant, un prêtre, une prostituée et un flic passent la nuit dans un commissariat de police pour comprendre l’énigme d’une série d’assassinats. L’engrenage des destins individuels explique la présence de chacun mais aussi la définition que chacun se donne de l’amour. Tout amour qui meurt est un cheval cabré mais qui aime qui ? Et pourquoi donc ?

 

 

 

Entre deux théâtres, il faut choisir…

 

Créée en mai 2007

 

Pièce en un acte

2 hommes, 1 femme

Durée : 45 minutes

 

        Et si Kafka récrivait l’almanach Vermot ? Mo se réveille dans un lieu étrange et inindentifiable : asile, prison, hôpital ou enfer. A ses côtés, se trouve « l’autre » qui parle sans parler, répond sans répondre, joue sans jouer et qui semble en savoir bien plus long qu’il ne le dit. Plus tard arrive Jé, aussi perdue que Mo.

       Et si Dupond rencontrait Duponne ? Et si c’était comme Hamlet rencontrant Antigone ? Et si l’inverse ? Et si nous étions la somme des envies, des désirs, des combats, des renoncements et des victoires de toute la glorieuse cohorte de nos aînés et si, en même temps, en une sorte de toute dialectique adéquation, si nous étions la honte de l’espèce humaine ? Et Dieu dans tout ça ? Il faut faire avec : au théâtre comme au théâtre !

 

 

La cathédrale engloutie

 

Créée en septembre 2007

 

Pièce en un acte

3 femmes et 1 homme

Durée : 30 minutes

 

         Louise, Lola, Tootsy et Goulven sont réunis pour l’enterrement de leur sœur aînée. Ils doivent écrire un éloge funèbre mais ils ne se sont pas revus depuis longtemps et ils s’aperçoivent très vite qu’ils ont beaucoup plus à échanger entre eux qu’au sujet de la défunte. Cette pièce est destinée à être jouée dans l’obscurité totale. Tous les spectateurs, ainsi que les acteurs, seront unis dans une même cécité.

 

 

 

 

 

Pour un peu, faudrait s’excuser d’exister

 

Créée en septembre 2007

 

Monologue

1 homme ou 1 femme

Durée : 30 minutes

 

        On ne sait pas au juste où il se trouve : prison, hôpital ou théâtre. Il semble parler à son psy et  finit par s’adresser au public. Il semble n’avoir rien à dire, ou ne vouloir rien dire, d’un « crime atroce » qu’il a commis: il se cache sous des noms d’emprunt, des identités de meurtriers célèbres, des passés inventés ou ré inventés pour finalement, par l’intermédiaire d’une allusion à la fameuse « expérience de Milgram », nous renvoyer à notre culpabilité à tous.

 

 

William et Violaine

 

Créée en mai 2009

 

Comédie amère

1 homme 1 femme

Durée approximative 1 heure 15

 

          William et Violaine vivent ensemble. Ils parlent et jouent comme s’ils se connaissaient depuis toujours. William est beaucoup plus âgé que Violaine : sont-ils mariés ? Sont-ils amants ? Sont-ils amis ? Leur relation dissimule à l’évidence un lourd et vieux secret, totalement indicible. Lointainement inspiré par un fait divers réel survenu en Autriche, l’affaire Nathascha Kampusch, cette comédie amère traite de la difficulté relationnelle et des rapports dominant-dominé dans le cadre de toute relation de couple.

 

 

Le rubis n’est pas rouge

 

créée le 3 avril 2015 au théâtre du Gouvernail Paris19 e dans une mise en scène de Daniel TRUBERT

 

Pièce en un acte

2 hommes 1 femme

Durée approximative 1 heure 30

 

        Dans un salon privé d’un très grand restaurant parisien, Claude a invité Etienne. Le premier est un chanteur à la mode, pur produit commercial, le second est un parolier renommé, réputé intellectuel, pourtant Claude voudrait travailler avec Etienne. Entre ces deux hommes, que tout sépare, va naître peu à peu l’ébauche d’une complicité et, contre toute attente, l’espoir d’une collaboration. C’est que rien n’est simple en matière de relations humaines et que, en dépit des apparences, le rubis n’est pas rouge.

         Cette pièce est inspirée par une rencontre qui eut réellement lieu entre Claude François et Etienne Roda-Gil

 

 

 

 

 

Il faut des trous pour faire un monde…

 

Créée le  24 octobre 2009 à l’espace Franquin, à Angoulême (Charente) dans une mise en scène de Patricia BAYNAUD-GUILLEBAUD

 

Pièce en quatre quartiers de lune

6 femmes

Durée approximative 1 heure 30

 

         Elles sont six à vivre et graviter autour d’un trou dans lequel se trouve un homme, Grod, dont on ne sait s’il est toujours en vie, ligoté, assommé ou totalement imaginaire : Ludivine est sa mère, Marielle son épouse, Judith sa sœur, Vénus sa fille, Samantha sa maîtresse et Meredith une amie de sa femme. Dans ce monde parallèle, lorsque les femmes se lâchent, les vérités font mal mais sont toujours bonnes à dire.

 

 

 

L’odieux silence des pianos qui se noient

 

 

Publiée en septembre 2009 aux éditions Durand Peyrolles

mise en espace en 2009

 

Pièce en trois journées

1 femme 1 homme

Durée approximative 1 heure

 

            Catherine Crater est lieutenant stagiaire de police à Guingamp. Elle est chargée d’interroger un homme retrouvé nu, hébété, sans doute amnésique, sur une plage bretonne. Au cours de ce très long monologue, elle va passer de l’autorité policière à la confidence féminine, au point de nouer avec cet homme silencieux un lien étrange de confiance et de douleur. Une véritable gageure pour les deux comédiens.

 

 

 

Tous les chemins mènent à l’Homme

 

créée en avril 2014 au Théâtre du Gouvernail, dans une mise en scène de Ana M. Ghisalberti

 

3 femmes 3 hommes

Durée approximative 1 heure 30

 

           Ils sont six à se retrouver enfermés, le soir de Noël, dans un chalet de montagne, près de Morzine, par une tempête de neige : amants, amis, frères, sœurs, ex… Mais la situation, l’angoisse, et une vieille histoire racontée, celle des « possédés de Morzine » va les mener à la folie et au meurtre. Sans raison ou pour toutes les raisons possibles ?

 

 

 

Hématome disséquant de la région du cœur

créée le 1 juillet 2016 à  la Salle de l'Alambic (63800 Cournon-d'Auvergne) dans une mise en scène d’Alexis Guillon-Cottard

 

2 femmes 2 hommes

Durée : 1 heure 30

 

             Sur une dizaine d'années, trois professeurs de lycée et une psychologue dialoguent. La fête de fin d’année est l'occasion de leurs retrouvailles mais aussi  de se confier les uns aux autres leur intimité amoureuse : vie de couple, divorces, célibat... Au fil des années les situations évoluent, le moral flanche plus ou moins, les couples vacillent, se séparent, d'autres se forment, les uns découvrent leur sexualité tandis que d'autres y renoncent. Ces quatre personnages sont autant à la recherche de l’être aimé que d’eux-mêmes.

 

 

 

 

 

Chœurs de  crise(s) !

 

2 femmes 3 hommes

Durée : 1 heure 30

        

         Tristan Dumas rentre chez lui, après plusieurs mois d’absences, au moment où une femme nue sort de la salle de bains. Ils occupent le même appartement, sans l’avoir jamais su ; ainsi, Tristan, Thérèse et son conjoint vont-ils être contraints à une co-location problématique. Autour d’eux, manipulateurs et juges, un couple mystérieux, Il et Elle, se livrent à des commentaires sur la situation de crise.
         Révélations, jalousies, rebondissements, complot,  au final qui s'en sortira ?
        Mi-polar, mi-fable, une comédie contemporaine qui met la crise au centre d'un dispositif infernal pas si invraisemblable qu’on pourrait le croire.

 

 

 

 

Vieux maux et jeunes pouvoirs

         créée le 30 juin 2018 à Cournon d'Auvergne (63) dans une mes d'Alexis Guillon-Cottard

3 hommes et 2 femmes entre vingt en trente ans

1 femme de la cinquantaine

 

Durée approximative : 1 heure

 

Rien ne va plus pour Caulvin : à trois jours de sa possible réélection au conseil des douze ministres qui dirige le pays, sa compagne le quitte, sa mère le harcèle, son meilleur ami le trahit et son ennemi intime complote contre lui. Dans cette terre d’utopie, le pouvoir est exercé par les moins de trente ans et donne lieu à un vaudeville ou à une farce politique.

 

 

 

 

 

Il était une femme

 

Mise en lecture  le 27 juin 2016 par Marie Josée Brakha dans le cadre de l’association Des mots et des actes au théâtre Darius Milhaud 75019 Paris

 

2 hommes et 1 femme entre trente et quarante ans

 

Durée approximative : 1 heure trente

 

En 2001, Luce Saistiers, opposée à Régine Jacotes en finale de Rolland Garros, remporte la coupe Suzanne Lenglen. Mais à la suite d’un test, il s’avère qu’elle est en réalité, et sans le savoir, un homme.

         Treize ans plus tard, Luce, devenue Luc, vient rendre à Régine la coupe. Ce geste généreux sera riche de conséquences.

         Cette histoire est librement inspirée par la vie d’Erik Schinegger telle qu’il l’a racontée dans son autobiographie L’homme qui fut championne du monde.

 

 

Un, deux, trois Djihad !

2 hommes, une femme et une voix off

durée 1h 30 environ

Alors qu’Amédée venait s’inscrire dans le club de fitness dirigé par Dana, un jeune djihadiste armé, Sad, fait irruption et les prend en otage. De quoi parlent un terroriste et ses otages ? De ce qui fait la valeur de la vie pour chacun. Du djihad de l’un, et des intolérances des autres…

En attendant Mo

créée au théâtre Truffaut (Paris 17ème) le 5 avril 2019 dans une mise en scène collective

 

3 hommes

 

Durée approximative : 1 heure 10

 

         Ils sont trois à attendre Mo et à jouer sur les mots, sans trop savoir comment ils se nomment réellement et s’ils s’aiment ou se haïssent dans cet univers qui, à la fois, se répète et se restreint au fur et à mesure de la pièce…

 

 

Bora Bora

Ou Madame en a soupé

     Créée au théâtre du Gouvernail (Paris 19ème) le 31 janvier 2018, dans une mes de Jerry Merunka.

     éditée en avril 2018 aux éditions Digobar 

5 hommes et 1 femme

 

Durée approximative : 1 heure 15

 

         Fred s’est évadé de la Santé et se présente chez Ginger, son épouse, qui, entre temps, s’était remarié à un politicien. Va-t-il parvenir à récupérer sa femme et son argent ?

Voyage au ventre de la bête

 

3 hommes et  1 femme

 

Durée approximative :  2 heures

 

 

Pierre Médicis, ex-journaliste et correspondant de guerre,  revient, treize ans plus tard sur les lieux où il fut otage durant plusieurs mois avec son compatriote et confrère, Medhi Carbone. Il est accompagné par une vidéaste qui veut réaliser un film ainsi que par deux comédiens qui joueront le rôle des deux otages. Ces derniers partageaient, à priori, un certain nombre de valeurs communes, et ils ont néanmoins connu une cohabitation particulièrement difficile, voire même violente. Les scènes jouées s’entremêlent avec les commentaires de l’ex-otage et de la vidéaste, et avec les réactions des comédiens.

Dieu ne fait rien pour les faibles

3 femmes et 2 hommes

durée approximative : 2 heures

A Zilina, en Slovaquie, en avril 1944, deux jeunes filles, Elsa Feigel et Marthe Abramson, ont réussi à s’évader d’Auschwitz et cherchent à témoigner auprès du conseil juif. Elles sont accueillies chez un journaliste local, Daniel Rapheh, et son épouse, Zabeth. C’est là qu’elles vont être longuement interrogées par le journaliste et un rabbin, Jacob Epstein. Mais leur récit est tellement étonnant que les deux hommes, surtout le rabbin, ont du mal à les croire. Et ils seront, de surcroît, très étonnés  d’apprendre les motivations profondes  de ces témoignages de l’horreur.

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